the-imaginary-world

Résumé :

Par une froide journée de janvier, une femme disparait dans l’une de ces banlieue trop propres et trop calmes que le cinéma américains nous à révélés. Katrina, sa fille unique, croit réglée avec un soin méticuleux et lucide ses comptes avec l’image d’une mère destructrice détestée en secret. Mais alors pourquoi ces rêves obsédants qui hantent ses nuits ?

Avis :

J’ai d’abord été attiré par le film, ne connaissant pas le livre. Je me suis donc aventurée dans la salle sans attente particulière. Pour autant, je n’ai pas été déçu, loin de là. Même si le suspense sur la disparition n’est pas grand et qu’on le devine facilement.

Le rôle d’Eva Green en tant que mère est sublime. C’est dans ce genre de rôle qu’elle s’épanouit. Un rôle de femme et de mère lassé de sa vie de famille parfaite dans la banlieue parfaite, qui prends alors un malin plaisir à rire de cette vie qui l’étouffe

Tout le long du film, on enquête dans notre tête, on cherche où elle peut bien être, même si la réponse nous viens facilement, on ne peut être sûr avant le dénouement. Les indices sur sa disparition sont beaucoup trop flagrants, ce qui est un peu dommage.

Il n’y a que la fin, qui malgré tous les indices on ne s’attend pas du tout à ça. La fin reste surprenante, mais ne nous laisse pas sans voix, puisqu’en réalité, nous accompagnons Eva Green et son rire inoubliable. Notre rire est différents du sien, plus nerveux que moqueur.

Notes :

Livre : 4/5

Film : 4/5

Résumé :

En arrivant dans les Carpates, le clerc de notaire londonien Jonathan Harker est épuisé par son périple. Mais son client et hôte, le comte Dracula à tout prévu : une chambre lui a été retenue à l’auberge pour la nuit en attendant de rejoindre le château en calèche. Mais pourquoi les habitants du village se signent-ils avec des mines épouvantés quand Jonathan leur dit où il compte se rendre ? Pourquoi lui fait-on cadeau d’un crucifix et de guirlande d’ail ? Malgré les mises en garde, Harker poursuit sa route. Certes ces montagnes escarpées, ces loups qui hurlent dans le lointain ont de quoi faire frissonner. Mais enfin, tant de superstition au cœur du XIXème siècle ! Jonathan est un homme raisonnable…

Avis :

Cela faisait un moment que je souhaitais lire ce livre, ayant vu le film de Francis Ford Coppola pour les cours. Et puis ayant un goût très accrue pour tout ce qui touche au fantastique et au surnaturel, Dracula de Bram Stoker est un classique en soit.

J’ai clairement dévoré ce livre en très peu de temps et n’en fût absolument pas déçu. Même si en tant que Classique de la littérature, nous connaissons tous l’histoire de Dracula, il n’en est pas moins que le livre est le bienvenu, il travaille beaucoup plus de détail et le langage du XIXème siècle également.

Stoker nous entraîne dans son monde si facilement, qu’on oublierait presque l’époque dans laquelle nous sommes et le fait que les vampires n’existent pas. Il fait correspondre à merveille le monde surnaturel et notre monde de l’époque que l’histoire en devient fascinante.

Un peu plus haut je parlais du film de Coppola, qui a travaillé l’œuvre à l’écran, et qui reste d’ailleurs le film le plus emblématique concernant l’œuvre de Bram Stoker. En effet, Coppola à bien travaillé les effets d’ombres, qui sont très important dans le film comme dans le livre. Pour ce qui est des effets spéciaux, le film n’en abuse pas, et pour l’époque il n’y a rien à redire.

Notes :

Livre : 5/5

Film : 5/5

Contrairement aux films d’aujourd’hui qui parfois utilise de façon abusive les effets spéciaux, comme dans le dernier film concernant Dracula (pour rester sur le sujet), Dracula Untold. Ce film, n’est pas une très grande réussite. En effet, partait à l’origine d’un travail entre le roman de Dracula et la légende de Vlad l’empaleur, mais ce n’est pas clairement ce qui ressort dans ce film.

D’abord, l’histoire de Dracula passe de façon rapide, les explications sont mâchées et reformulé à leur façon, ce qui donne une bouillie pas très logique, et sont très loin de l’histoire original de Dracula écrite pas Bram Stoker. Quant à l’histoire de Vlad l’empaleur, on est loin de l’abominable personnage sans pitié qui embroche tous ceux qui se liguent contre lui. Ici, c’est un homme dévoué à sa femme et son fils, un père et un mari exemplaire, partant en guerre pour garder son territoire comme tout homme de cette époque. Rien de plus banale, agrémenté d’une bonne romance et d’une overdose d’effet spéciaux tel les Block Buster, ce film est donc loin d’être un grand film face à Coppola, ce film n’est pas de taille.

note :

3/5

Shining est un des plus célèbre roman de Stephen King, qui fut adapté au cinéma par Stanley Kubrick, un grand réalisateur. Mais pourtant, le livre et le film non rien à voir.

L'Overlook est fermé durant tout l'hiver, isolé du monde par la neige. Cet année, la famille Torrance est engagé pour s'occuper de l'hôtel. Mais l'Overlook cache de lourd secret. Et ce n'est pas Danny, le fils Torrance qui va arrangé la donne. Danny à en effet un don, qui lui permet de voir les morts, mais aussi de leur redonner vie.

Ce livre regorge de suspens, du début à la fin. et jusqu'au bout, on se demande s'ils vont s'en sortir. Entre ce qui se passe dans l'hôtel et Jack, rattraper entre autres pas ses anciens démons : l'alcool et la violence. Danny se rend vite compte que son père change, qu'il recommence à "faire le vilain", ce qui est étrange puisque l'hôtel est vide d'alcool. l'Hôtel est prêt à tout pour avoir ce qu'il veut.

Avec la fin, on pouvais douter d'une suite, mais étant donné qu'une suite à était écrit (Docteur Sleep) on soupçonne que quelque chose à bien du se passer par la suite, et on à envie de plongé dans cette suite le plus rapidement possible.

Nous allons maintenant parler du film de Kubrick, qui quant à lui est travaillé différemment. Kubrick travaille moins le côté fantastique de Stephen King, et s'attarde beaucoup plus sur la chute de Jack dans les ténèbres de la page blanche, de l'alcool et de la violence. On voit tout de même le don de Danny par les fantôme que l'on voit, mais ici, Tony n'est qu'un être imaginaire qu'il fait parler a travers son doigt.

Kubrick à un esprit beaucoup plus scientifique, comme on peut le voir dans 2001, l'odyssée de l'espace ou encore Orange mécanique alors que les œuvres de Stephen King tourne principalement autour du surnaturel et du fantastique, ce qui explique sûrement la raison pour laquelle Stephen King fera sa propre adaptation pour la télévision, mécontent de l'adaptation de Kubrick qu'il trouve trop éloigné du livre.  

Notes :

Si Je reste, raconte l'histoire d'une fille qui doit choisir entre rester ou partir, entre vivre ou mourir après un terrible accident de voiture où toutes sa famille (parents et frère) sont décédés. ses attaches restante à la vie ? la musique, sa meilleure amie et surtout sont petit ami Adam. Entre la vie et la mort, Mia doit faire son choix, mais pour elle c'est un dilemme. Elle va alors se rappeler de sa vie passé, et s'imaginer un avenir, pour trouver la réponse.

Je n'avais jamais lu un livre aussi enivrant. et oui parce que malgré que ce soit un livre, avec des mots inscrits sur du papier, j'ai eu l'impression à certain moment d'entendre la musique sortir des pages. Pourtant ce ne sont pas des musiques de ma connaissance pour tous. mais le livre nous transporte dans son univers. et chaque note de musique y est représenté à sa façon.

Ce n'est pas simplement un livre sur une histoire de choix entre la vie et la mort, c'est un livre sur l'art, et particulièrement sur l'art de la musique, pas juste une sorte de musique, mais plusieurs. Ainsi, le Punk, Le Rock partage l'affiche avec la musique classique.

On pourrait classifier l'auteur de "virtuose des mots" puisqu'avec des mots il nous permet d'entendre la musique.

Ce livre à été pour moi autant un défi émotif, puisqu'on est tous passer par le deuil et la douleur de la perte de quelqu'un et ce livre nous le rappelle, mais il est également un livre apaisant parce qu'il guide nos sens sur la musique silencieuse présente dans le livre. La musique est vraiment un des personnages, puisqu'elle nous apaise, nous transporte et on s'attache à elle autant que les personnages. Elle fait partie de leurs vies et le temps du livre elle fait parties de la notre.

Et puis qui n'a jamais essayer de se détendre en écoutant de la musique ? 

Ne dit-on pas que la musique apaise les mœurs ?

Je viens de sortir du cinéma, en mode panda, et oui prévoyez les mouchoirs et si possible évitez le mascara. Je suis plutôt contente de cette adaptation, même si certaines choses m'ont quelques peu déçu. Bien sûr, des changements, il y en a dans tout les films adapté d'un livre, mais bon certains sont à éviter. Après, grande fan de Under The Dome et de Once Upon a Time, je n'ai pu rater les acteurs qui joue respectivement Carolyn et  le jeune Pinocchio. J'ai également beaucoup aimé le rôle de la musique dans le film, surtout lors d'un passage difficile pour le couple Mia/Adam, ou la musique émet un bruit strident. certains des dialogues sont aussi fait pour nous faire rire. Chloé Moretz joue à merveille la fille potache dans ses débuts de relation, puisque ce n'est pas la première fois qu'elle s'y essaie.

Mais ce qui m'a le plus frappé et déçu, c'est en grande partie la scène de l'accident. En effet, dans le livre elle est décrite avec tellement de volupté et en rythme avec la musique de Beethoven, que je pensais que la scène serait légèrement plus longue et qu'on y entendrait la musique de Beethoven jusqu'à son réveil. puisqu'il est bien spécifié dans le livre que la musique continue de jouer après l'accident. Mais également le fait qu'on ne voit pas les désaccords entre Adam et  Kim. cette non amitié, qui fini par les réunir après l'accident.

En dehors de cela, le film est très émouvant et extrêmement touchant. Dans le même esprit émouvant et tragique que nos étoiles contraire. ce film réuni à merveille le rock et la musique classique. Le film nous fait passer des rires aux larmes, avec plus de larmes que de rire, mais on est pas venu regarder une comédie, alors on sait à quoi s'attendre.

Notes :

Les âmes vagabondes est une histoire d'un monde qui tente de vivre en paix, éradiquant les êtres humains dont l'existance mène constament à la guerre. C'est pour cela que chaque humain se fait implanter une "âmes" venue d'une autre planète. La terre n'est pas leur première colonisation. Les âmes aiment voyager. Mais l'insertion d'une âmes extérieur efface l'âme de l'humain déjà existante. Mais certains humains sont farouche. Mélanie se voit insérée une de ses "âmes", nommé Vagabonde. mais Vagabonde à beau être celle qui contrôle le corps, elle reste perturbée par la présence de Mélanie dans sa tête. Mélanie n'a qu'une envie, protéger son frère et Jared. Elle va donc conduire Vagabonde à leur cachette afin de retrouver les siens, mais l'arrivée sera difficile...

Le livre est très complet, même trop à certains moment. C'est une histoire que j'ai grandement appréciait, mais une partie du livre s'avère longue et quelque peu ennuyante. Malgré tout je n'ai pas abandonné et heureusement. ce livre mérite d'être lu.

Le Film quant à lui représente pour ma part principalement la façon dont j'imaginais les personnages durant ma lecture, et surtout la représentation des âmes était égal à mes attentes. Et tout comme le livre, j'ai eu ce moment d'ennuie durant le film sur le même passage. Les acteurs quoi que principalement inconnus ont une bonne approche des personnages originels du livre. Saoirse Ronan (l'actrice principale) que j'avais déjà vu dans Lovely Bones, où j'avais déjà été épaté par son jeu d'actrice.

Je me doute que certains d'entre vous reste récalcitrant à lire ce livre, ou a voir le film par rapport à l'auteur, Stephenie Meyers qui à également écrit la Saga Twilight. Mais ce livre n'a strictement rien à voir avec la saga Twilight, bien au contraire. Ici on est loin de la fantasy, plutôt dans un genre de science fiction futuriste.

Note :