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Bilan des Vacances

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Les vacances s'achèvent demain en ce qui me concerne (oui j'ai un peu de rab, merci la Fac ;) ) 

 

et donc durant ces trois mois de vacances, j'ai lu 17 livres :

_ Shining - Stephen King

_ After - Anna Todd

Ces deux premier était lu un peu avant les vacances, mais on y était presque ^^

_ La nuit du Solstice - L. J. Smith

_ La meute du phénx - Suzanne Wright

_ Christine - Stephen King

_ After T2 - Anna Todd

_ La meute du phénix T2 - Suzanne Wright

_ Les gens heureux lisent et boivent du café - Agnès Martin-Lugand

_ Joyland - Stephen King

_ J'aurais préféré Vivre - Thierry Cohen

_ La prophétie du Paladin - Mark Frost

_ Jessie - Stephen King

_ La mécanique du Coeur - Mathias Malzieu

_ L'épouvanteur T4 - Joseph Delaney

_ Et si c'était vrai - Marc Lévy

_ Les Yeux du dragon - Stephen King

_ After T3 - Anna Todd

 

Soit un total de 7170 pages. Comme vous pouvez le voir, Stephen King est très présent dans mes lectures. Mais si je devais vous faire un Top 3 et bien Il n'y serait pas, pourtant j'ai beaucoup appréciait ses livres, comme toujours Mais mon cours de coeur va à des livres pourtant plus simple. Voici donc le Top 3 de mes coup de coeur de cet été :

 

N°1 : Les gens heureux lisent et boivent du café

Mon gros coup de coeur de l'été. Un livre vraiment attractif, avec des personnages attachants. je suis impatiente de retrouver les personnages dans la suite.

N°2 : La mécanique du coeur

On y retrouve la poésie de l'auteur, on y retrouve sa musique. Il nous transporte dans son univers, nous fait frissonner face à Jack l'éventreur, mais nous fait fondre devant Miss Acacia et Jack 

N°3 : Et si c'était vrai...

un livre simple et rapide à lire, mais qui malgré tout nous accueille avec attachement. Je n'en dirait pas tant du film, où la narration avance trop rapidement et bien trop différemment. Il peut être un bon film, pour quelqu'un n'ayant pas lu le livre.

 


13/09/2015
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Les gens heureux lisent et boivent du café - Agnès MARTIN-LUGAND

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Résumé :

" Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier. [...] J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux. " 
Diane a perdu brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l'exception de son coeur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. C'est peut-être en foulant la terre d'Irlande, où elle s'exile, qu'elle apercevra la lumière au bout du tunnel. 
L'histoire de Diane nous fait passer par toutes les émotions. Impossible de rester insensible au parcours tantôt dramatique, tantôt drôle de cette jeune femme à qui la vie a tout donné puis tout repris, et qui n'a d'autre choix que de faire avec. 

 

Avis :

Un livre qui m’a tout d’abord attiré par son titre. Et oui, quoi que très long, il faut l’avouer, le titre me correspondait, enfin le café en moins. Je ne suis pas accro à la caféine, mais plutôt au thé et aux livre bien sûr. Le titre est bien entendu une bonne accroche pour tout bon lecteur. Il est statistiquement prouvé (selon des statistiques personnelles non calculée) que lorsqu’on a un petit coup de mou, un bon livre est là pour nous remonter le moral et nous rendre ainsi plus heureux.

Et quand en plus comme ici, on peut partager l’amour des livres avec le protagoniste, il devient vite notre meilleur ami jusqu’à ce que l’on referme la dernière page du livre. J’ai déjà eu cette impression en lisant After. Ayant un goût aussi prononcé que Tessa pour la lecture, mais nous ne sommes pas là pour parler de ce livre.

Dans Les gens…, le personnage de Diane à perdu goût à la vie et à la lecture par la même occasion, alors que cette dernière avait une place importante pour elle, puisqu’elle tenait un café littéraire. La lecture n’est donc pas omniprésente dans ce roman mais on la ressent comme une ombre derrière le personnage de Diane, comme un fantôme de son passé qui s’accroche.

Ce roman, un peu mélodramatique, m’a beaucoup touché. Il n’y a pas de suspens, mais ce n’est pas le but de ce roman. C’est un livre qui cherche à nous toucher, à nous faire ressentir les émotions de Diane et donc le suspense n’y a pas vraiment sa place. Je suis une simple étudiante célibataire, qui commence à peine sa vie et pourtant, je me suis vite accrochée au personnage de Diane, j’ai rapidement compris ce qu’elle ressentait et ce qu’elle éprouvait, je l’éprouvais avec elle. Autant la douleur de la perte, que l’étouffement de ses proches, et aussi ses relations nouvelles avec une nouvelle communauté.

Son départ pour l’Irlande est brusque et imprévu pour elle. Mais c’est son dernier espoir, pour échapper à tous ces proches qui l’étouffe, et la pousse à aller de l’avant. Mais au fil des pages et de la description, on part avec elle grâce à l’imagination et finalement, on a vraiment envie de faire ce voyage, de partir visiter nous-même ce pays, qui nous appelle à travers les pages. L’auteure nous vend du rêve par ce pays qui parait paradisiaque malgré la pluie constante.

Avant de le commencer, quelqu’un m’a informé qu’il y avait une suite : La vie est facile, ne t’inquiète pas, ce qui m’a réjoui au fil de ma lecture, car malgré tout, ma lecture fut de courte durée et ce fut avec peine que je quitter Diane et son histoire.

 

Note :

5/5


13/07/2015
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Jurassic World - Colin TREVORROW

 

Résumé :

L'Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.

 

Avis :

On reprend du vieux pour faire du jeune, on montre les nouvelles techniques et les nouveaux effets spéciaux et on gribouille un scénario qui fait l’affaire… NON ! Ce n’est pas du cinéma ça ! C’est de la vente pur et dur !

Tout d’abord, on retrouve des personnages hyper caricaturés. Les enfants en premier, Rebelle et désobéissant ; la femme d’affaire overbookée, accroché à son téléphone et tiré par quatre épingles ; et n’oublions pas le dresseur beau gosse, musclé et sauvage, qui ne manquera pas de faire baver toutes les filles.

Une fois les personnages présentés, l’action peut commencer, la pas de surprise, le gros Dino génétiquement modifié s’échappe pour créer la panique à travers le parc. Bien entendu, les enfants ne sont pas revenus comme ils auraient dû et leur tante s’aventure donc dans la jungle en tailleurs blanc et haut talons accompagné du dresseur beau gosse. Parce que les talons et le tailleur sont LA tenue indispensable pour une balade dans la jungle !

Le point suivant, on ne peut plus décevant, des dino-chien, si, si je vous assure. Des dinosaures capables d’être dressés comme des petits toutous tous gentils et qui s’entraident. Parce que tout le monde sait que les raptors et les T-Rex ça se fait un poker tous les samedi soir.

Comme vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout accroché à ce film que je trouve limite parodique tellement il est cliché du début à la fin, et où les dinosaures sont réduit à être des animaux de compagnie. Heureusement qu’ils sont tous morts. Je suis sûr qu’ils n’apprécieraient pas non plus.

 

Note :

2/5 

 

PS : Une vidéo chronique faite par un ami ;)


13/07/2015
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White Bird in a Blizzard - Laura KASISCHKE / Gregg ARAKI

 

Résumé :

Par une froide journée de janvier, une femme disparait dans l’une de ces banlieue trop propres et trop calmes que le cinéma américains nous à révélés. Katrina, sa fille unique, croit réglée avec un soin méticuleux et lucide ses comptes avec l’image d’une mère destructrice détestée en secret. Mais alors pourquoi ces rêves obsédants qui hantent ses nuits ?

 

Avis :

J’ai d’abord été attiré par le film, ne connaissant pas le livre. Je me suis donc aventurée dans la salle sans attente particulière. Pour autant, je n’ai pas été déçu, loin de là. Même si le suspense sur la disparition n’est pas grand et qu’on le devine facilement.

Le rôle d’Eva Green en tant que mère est sublime. C’est dans ce genre de rôle qu’elle s’épanouit. Un rôle de femme et de mère lassé de sa vie de famille parfaite dans la banlieue parfaite, qui prends alors un malin plaisir à rire de cette vie qui l’étouffe

Tout le long du film, on enquête dans notre tête, on cherche où elle peut bien être, même si la réponse nous viens facilement, on ne peut être sûr avant le dénouement. Les indices sur sa disparition sont beaucoup trop flagrants, ce qui est un peu dommage.

Il n’y a que la fin, qui malgré tous les indices on ne s’attend pas du tout à ça. La fin reste surprenante, mais ne nous laisse pas sans voix, puisqu’en réalité, nous accompagnons Eva Green et son rire inoubliable. Notre rire est différents du sien, plus nerveux que moqueur.

 

Notes :

Livre : 4/5

Film : 4/5


12/07/2015
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Christine - Stephen KING

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Résumé :

Christine est belle, racée, séduisante. Elle aime les sensations fortes, les virées nocturnes et le rock'n roll des années héroïques. Depuis qu'elle connaît Arnie, elle est amoureuse. 

Signe particulier : Christine est une Plymouth " Fury ", sortie en 1958 des ateliers automobiles de Détroit. Une seule rivale en travers de sa route : Leigh, la petite amie d'Arnie...

Ce roman légendaire de Stephen King, rythmé par la musique de Chuck Berry et de Janis Joplin, a déjà pris place parmi les classiques de l'épouvante.

 

Avis : 

Encore un livre de Stephen King, et oui, cet auteur est pour moi l’un des plus grands. Même si ce livre ci, n’est pas particulièrement mon préféré.

En effet, le livre est long à commencer et s’attarde trop longtemps sur les réparations et les passages descriptifs comprenant du langage automobile complexe. N’ayant pas énormément de connaissance en la matière, j’ai trouvé toute la première partie très longue.

De plus, Christine est un roman essentiellement masculin. Non pas parce qu’il parle de voiture, mais par la majorité de ses personnages. On compte seulement 5 personnages féminins, dont deux mortes qui sont simplement nommé. Quant aux trois restantes, deux d’entre elle sont les mères des protagonistes.

La deuxième partie avance plus rapidement et on entre enfin dans l’intrigue comme il se doit. On commence alors à pouvoir s’identifier à l’histoire, malheureusement, nous sommes déjà à la moitié du livre. Malgré tout on retrouve la qualité du style de Stephen King.

Ce livre n’est donc pas son meilleur à mes yeux, mais cela ne m’arrêtera pas pour autant de continuer de lire les livres de ce maître de l’écriture, à l’instar d’Hitchcock pour le cinéma.

 

Note : 

2/5


11/07/2015
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