the-imaginary-world

Résumé :

L'Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.

Avis :

On reprend du vieux pour faire du jeune, on montre les nouvelles techniques et les nouveaux effets spéciaux et on gribouille un scénario qui fait l’affaire… NON ! Ce n’est pas du cinéma ça ! C’est de la vente pur et dur !

Tout d’abord, on retrouve des personnages hyper caricaturés. Les enfants en premier, Rebelle et désobéissant ; la femme d’affaire overbookée, accroché à son téléphone et tiré par quatre épingles ; et n’oublions pas le dresseur beau gosse, musclé et sauvage, qui ne manquera pas de faire baver toutes les filles.

Une fois les personnages présentés, l’action peut commencer, la pas de surprise, le gros Dino génétiquement modifié s’échappe pour créer la panique à travers le parc. Bien entendu, les enfants ne sont pas revenus comme ils auraient dû et leur tante s’aventure donc dans la jungle en tailleurs blanc et haut talons accompagné du dresseur beau gosse. Parce que les talons et le tailleur sont LA tenue indispensable pour une balade dans la jungle !

Le point suivant, on ne peut plus décevant, des dino-chien, si, si je vous assure. Des dinosaures capables d’être dressés comme des petits toutous tous gentils et qui s’entraident. Parce que tout le monde sait que les raptors et les T-Rex ça se fait un poker tous les samedi soir.

Comme vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout accroché à ce film que je trouve limite parodique tellement il est cliché du début à la fin, et où les dinosaures sont réduit à être des animaux de compagnie. Heureusement qu’ils sont tous morts. Je suis sûr qu’ils n’apprécieraient pas non plus.

Note :

2/5 

PS : Une vidéo chronique faite par un ami ;)

A la poursuite de demain est un film réalisé par Disney, qui fait un peu penser à un Alice au pays des merveilles version 2.0, puisque le film parle du futur et d'un monde "parallèle" futuriste, mais aussi parce qu'elle essaie d'expliquer à son père, qui en prenant le Pin's ne voit rien.

Son père est sur le point de perdre son travail à la Nasa et elle est la seule qui garde espoir, sabotant les travaux de destruction du lieu de travail de son père. Dans un monde où tout le monde s'est fait à l'approche de la fin du monde, aux catastrophes naturelles à répétition, elle est la seule qui pense qu'il puisse y avoir des solutions à tout ça. Elle est donc la seule qui puisse bouleverser le futur, et il reste peu de temps.

J'ai beaucoup aimé le film. déjà pour sa morale qu'on oublie trop souvent nous même. Il ne faut pas se laissé aller à ce qui arrive, il faut se battre pour l'amélioré. Il y a toujours des solutions qui permettent d'améliorer la vie. même si le casting est principalement tiré de la télévision, en dehors de George Clooney (quoi qu'avec la pub Nespresso, il passe plus souvent à la télé qu'au cinéma...), puisque la plupart on commencé dans des séries avant d'entamer le cinéma, on peut remarquer le jeu d'actrice fulgurant de Raffey Cassidy dans le rôle d'Athéna.

Par contre, le film comporte quelques éléments qui m'ont quelque peu troublée. d'abord la romance passé entre l'enfant robot et George Clooney. D'accord, il était enfant lorsqu'il est tombé amoureux, mais à la fin, lorsqu'il la porte dans ses bras, on peut très bien voir qu'il l'aime toujours, ce qui fait un peu pédophile sur le coup. Ensuite, la petite étant un robot, il n'y a aucune chance qu'elle puisse ressentir quoi que ce soit. même si elle ressemble vraiment à un humain.

Il y a également une question qui persiste. Parce que Le personnage de George Clooney est parti dans l'autre monde à l'âge d'environ 10 ans. Il disparaît donc de la terre et personne ne s'en préoccupe ? déjà le fait qu'il prenne le bus tout seul, ce n'est pas très normal à son âge. Si à son âge on à la droit de disparaître du jour au lendemain sans qu'on ne se pose de question, où va donc le monde dans ce film ?

Note :